Certains observateurs semblent penser que la Suisse n’a pas de stratégie pour sa place financière. Cette impression est fausse : elle en a même plusieurs ! Les rapports stratégiques – tous pétris de bonnes intentions – n’ont donc pas manqué. Il est en revanche moins positif qu’une partie des problèmes qui avaient été identifiés il y a quatre ans restent entiers.